26 avril 2019

La compétition de la lutte a agrémenté 27 avril à Sotouboua

A sotouboua, la ligue centrale de lutte a organisé une compétition préfectorale de lutte afin de détecter des talents en la matière,  ce  26 avril 2019, veille de l’anniversaire de l’independance du togo. Le lutteur Simoua Bawoumodom est champion remarquable dans la catégorie 80 à 89 kg.

Pour rehausser l’éclat de l’anniversaire de l’indépendance du Togo, et sous l’égide du président national de lutte au Togo, M. Bernard Walla, la ligue du centre basée à  Sotouboua a organisé une détection des talents devant représenter Sotouboua aux compétitions de lutte.

Ils sont environs 70 candidats venant des cantons de la préfecture ayant pris part dans les différentes catégories à savoir: catégorie 70 – 79 kg, les gladiateurs 80 et plus, Catégorie 50 – 60 kg, Catégorie 61 – 69 kg

C’est sous un soleil accablant que les jeunes lutteurs sont descendus dans l’arène du Ceg ville 1, sur le terrain annexe.

Ovationnés par le son et le rythme des castagnettes et les cris des supporteurs, ils ont démontré leur savoir faire.

Après la round d’observation c’est l’arène. Chacun avait à user de la force physique, de la technique, de la ruse et de l’intelligence dans le fair play pour avoir raison de son adversaire.

Le lutteur Simoua Bawoumodom,  en culotte rouge, est champion remarquable de la compétition. Il a tout raflé sur son passage dans la catégorie 80 – 89 kg.

Pour le préfet de Sotouboua, M. Pali Tchabi Passabi, cette séance de lutte est traditionnelle. Il faudrait donc vite s’inviter pour se mettre à niveau de la lutte codifiée qui est recommandée pour les compétitions internationales… « A part la force, il faut être vigilant, avoir la ruse pour ne pas s’oublier… je félicite la jeune ligue naissante. Car elle n’a pas de fonds. J’exhorte tous les talents à  plus d’ardeur  afin de représenter Sotouboua dans les instances nationales voire internationales.

Cette compétition, faut-il le dire, a agrémenté a véritablement annoncé la fête du 27 avril à Sotouboua.

Aristide K.

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